Les films autour de la folie scandent l’histoire du cinéma, et ont parfois accompagné les luttes de terrain, notamment dans les années 1960 et 1970. Mais aujourd’hui, il semble que ce soit l’idiot, plutôt que le fou, qui inspire les cinéastes : celui qui fait moins peur, et qui n’a pas d’explication - même délirante - à donner du monde qui l’entoure...