| Abstract
| - Abstract. E-mail has quickly developed in organizations over the last ten years both for its ease of use and its perceived utility (TAM). However, in 2004 Weber published an article in MIS Quarterly in which he wrote: “Curiously, we have little published research about e-mail in our major information systems journals” and invited researchers to publish more on “e-mail”. This paper presents a meta-analysis of French research between 2000-2008. We study the use of electronic messaging in organizations by using a statistical analysis of textual data. Firstly, we explain the originality of this approach and the data processing. Secondly, we present the results and the class profiles obtained by Alceste: four different classes, each corresponding to four main research areas: “processing in time”, “media choice and productivity”; “use/ satisfaction”, “human-machine interface”. Finally, we discuss the results, the validity and the limits of this approach, and suggest future research directions.
- Résumé. La messagerie électronique s’est rapidement développée dans les organisations aux cours de ces dix dernières années, par sa facilité d’utilisation et son utilité perçue. Pourtant, Weber publie en 2004 un article dans MIS Quaterly dans lequel il soulève : « Curieusement, les recherches sur la messagerie électronique sont peu significatives en systèmes d’information ». Il invite alors les chercheurs à publier davantage sur « l’e-mail ». Cet article présente une méta-analyse des travaux de recherche francophones sur la période 2000-2008. Nous étudions l’usage de la messagerie électronique dans les organisations à l’aide d’une analyse statistique des données textuelles. Dans un premier temps, nous expliquons l’originalité de cette démarche et le traitement des données. Dans un deuxième temps, nous présentons les résultats et les profils de classes obtenus avec le logiciel Alceste : quatre classes différentes, correspondant à quatre grands sujets de recherche : « Temps et productivité », « Choix des médias et productivité » ; « Utilisation/satisfaction », « Interface homme/machine ». Enfin, nous discutons des résultats, de la validité et des limites de cette démarche. Ceci ouvre des pistes de réflexions et des voies de recherches futures.
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